Après 18 belles années Orléanaises, Marie-Laure et David Sterne ont pris la décision de céder leur restaurant «La Parenthèse» qui faisait le bonheur des papilles de nombreux Orléanais(es) et pas seulement.
Une première aventure longue de 18 années
Le 8 Novembre 2006, une date qui restera à jamais dans leur mémoire ! C’est la date à laquelle ils ont ouvert leur restaurant au 26 place du châtelet et qui depuis sera devenu un des lieux incontournables de la gastronomie Orléanaise.
Pour David c’était l’occasion de concrétiser le rêve d’ouvrir son propre restaurant. Pour Marie-Laure, un saut dans le vide pour suivre son conjoint alors qu’elle était dans le milieu des assurances. Et quoi de plus beau que de le faire à Orléans pour des Loirétains (originaires de Châtillon Coligny et Châlette sur Loing).
Mais au delà de l’aspect gustatif, ce qui marquera aussi l’esprit : c’est le côté humain ! Avec une équipe qui se sera étoffée au fur et à mesure de l’aventure mais qui sera restée fidèle et soudée avec une bonne humeur communicative.
18 ans après, voilà l’heure de clore ce beau chapitre et de prendre un peu de repos avant d’écrire probablement une nouvelle aventure ici ou ailleurs. Pour nous c’était l’occasion de retracer ses 18 années avec beaucoup de souvenirs et d’anecdotes : les rencontres Tinder, les mariages, les divorces… Des souvenirs qui resteront à jamais gravés dans leur mémoire et qui pèseront lourd Vendredi au moment de fermer pour la dernière fois leur premier «bébé».
Du bonheur dans l’assiette
Pour celles et ceux qui n’ont jamais eu l’occasion d’y faire une halte, on se devait de partager quelques photos des assiettes. Comment définir cette cuisine ? Du gastro mais avec des portions généreuses et une passion du travail que l’on ressentait en bouche avec une parfaite harmonie des goûts.
Et après ?
Le restaurant fermera ses portes définitivement le Vendredi 20 Septembre. C’est un restaurant Brésilien qui prendra la suite et ouvrira ses portes au mois d’Octobre. Un beau défi en perspective pour les repreneurs, tant le lieu était un incontournable à Orléans.
