RENCONTRE AVEC ADRIANA LINE LA TALENTUEUSE ARTISTE DESSINATRICE
Qui est Adriana Line ? Vous l’avez peut-être déjà rencontré lors de sa dernière expo au Galavar, on vous a déjà parlé de son talent ou encore de ses œuvres ?
Adriana fait désormais parti des artistes reconnus à Orléans.
Nous l’avons rencontré il y a quelques jours lors d’une interview.
Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Je m’appelle Adriana, j’ai 30 ans et depuis l’âge de 5-6 ans, j’ai commencé à dessiner.
C’est une passion qui, depuis, ne m’a jamais quitté.
Qu’est-ce qui t’a conduit au métier de dessinatrice ?
Je me suis orientée vers des études de design graphique, et puis, le fait de n’avoir jamais lâché le dessin à côté de mes différents jobs, et, les déceptions professionnelles que j’ai pu avoir, c’est ce qui m’a poussé à me dire que j’ai 30 ans,et, qu’il était temps que je me lance.
Où trouves-tu ton inspiration ?
Cela dépend de l’endroit où je me trouve, d’une personne que je rencontre.
Je puise mon inspiration en visitant une expo, en voyant une affiche, je vais me rapprocher de mes écrits, car, j’écris également des citations, des proses.
Lors de mon expo au Galavar, j’ai mis en scène certaines citations qui concordaient à mes toiles. L’inspiration n’est pas linéaire, ça peut arriver comme ça, en journée ou en pleine nuit, et, parfois, ça met du temps à arriver aussi.
Quel matériel utilises-tu ?
Pour ce qui est des illustrations sur papier, j’utilise des stylos micro pointe avec différentes mines variées, et pour les toiles, j’utilise des Posca et différentes mines également.
Comment la collaboration avec Les Frangins et Laetitia Beaujard a-t-elle vu le jour?
Lorsque je travaillais dans une boutique Harry Potter, j’ai rencontré Franck pour réaliser des illustrations de la saga Harry Potter dans le cadre d’une collaboration.
J’ai par la suite, rencontré Laetitia Beaujard, la youtubeuse qui a une grande communauté d’Harry Potter et me suis donc associée à eux pour réaliser 10 portraits des personnages de la saga.
Informations pratiques :
Crédit photos : Audrey PIAO